26 octobre 2012
26 octobre, Je m'enivre de mélodies fuyantes, Le
26 octobre,
Je m'enivre de mélodies fuyantes,
Le vent souffle ici, chez vous un peu parait-il,
j'aperçois la fin d'une journée silencieuse.
La couleur de nos entrevues me semble maintenant diluée,
Je n'ai plus confiance, vous m'avez dépassé,
Si quelque part en votre absence je trouve un coin de réconfort,
je vous ferai suivre mon message... je t'adore…
Je continue de photographier, l'issue est proche, j'arrive presque à me l'expliquer,
à l'autre bout de mes pensées, ce paysage édulcoré je me l'était bien figuré…
C'est en octobre que l'on déplore septembre et ses allers,
Retours à l'envoyeur!
Il était chez moi le trésor, je l'avais presque oublié.
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